361 Mise en place de vitrines de régies à moindres risques dans la culture de la pomme de terre -
22-006-PAD-CIEL
Ennemi visé :
Projet en cours
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352 Banc d'essai des différents biofongicides et fongicides biologiques homologués dans la pomme de terre et documentation de leur efficacité et de leur rémanence - 21-021-CIEL
Ennemi visé : Maladies
Projet en cours
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351 Évaluation et adaptation de plusieurs modèles prévisionnels dans les conditions du Québec pour lutter de façon raisonnée contre la brûlure hâtive (Alternaria spp.) dans la culture de la pomme de terre - PHYTO-006
Ennemi visé : Brûlure hâtive (Alternaria spp.)
Projet en cours
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343 Essais régionaux du CRPTQ
Ennemi visé : -
Projet en cours
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336 Implantation à la ferme de solutions de remplacement à l'herbicide linuron dans la culture de la pomme de terre par des produits à moindres risques déjà homologués - 6782854
Ennemi visé : Dicotylédones annuelles
Projet en cours
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329 Démonstration de la possibilité de réduction du nombre de traitements fongicides pour lutter contre la brûlure hâtive (Alternaria solani et alternata) dans la culture de la pomme de terre dans la région de Lanaudière - MLL2018-14-01
Ennemi visé : Brûlure hâtive (Alternaria spp.)
Projet en cours
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328 Vitrines de régie à moindres risques dans la culture de la pomme de terre - 19-2.2-07-CIEL
Ennemi visé : -
Projet en cours
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323 Biologie de la dartrose - 18-016-CIEL
Ennemi visé : Dartrose (Colletotrichum coccodes)
Projet en cours
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322 Détermination d'un seuil d'intervention contre la cicadelle de la pomme de terre (Empoasca fabae Harris) avec des pièges collants, dans la culture de la pomme de terre - 18-006-CIEL
Ennemi visé : Cicadelle de la pomme de terre (Empoasca fabae)
Entre 2019 et 2021, deux volets de recherche ont été mis en place pour apprendre à mieux lutter contre la cicadelle de la pomme de terre (Empoasca fabae) (Harris). Un premier volet mené en parcelles expérimentales (L’Assomption, Lanaudière) avec le cultivar Goldrush consistait à travailler sur le développement d’un seuil économique d'intervention contre cet insecte. Sur les quatre seuils testés (présence de l’insecte, 15, 25 et 40 captures/piège/semaine), le seuil de 25 captures a été celui qui a permis d’obtenir les meilleurs résultats, offrant un bon compromis entre réduction du nombre d’applications et excellente protection de la culture. Au cours des trois saisons, la pression retrouvée au champ a été variable, allant de forte à très forte (2019 et 2020), à faible (2021). Dans ce contexte, deux à cinq applications d’insecticide ont été évitées en 2020 et 2021 respectivement, comparativement à une approche basée sur des applications dès la présence de l’insecte. En 2019 où les populations ont été très importantes, seul le seuil de 40 captures aura permis de réduire le nombre d’applications. Malgré une forte pression de la cicadelle en 2019 et 2020, des dégâts au feuillage ont été observés seulement lors de la première saison dans le témoin non traité. Toutes les parcelles traitées selon les seuils testés ont été bien protégées et aucune différence significative n’a été observée au niveau des dommages au feuillage. Malgré les fortes attaques en 2019 et 2020 et les dégâts importants en 2019, il n’y a eu aucun impact sur les rendements, même en absence de traitements insecticides. Les résultats et différentes observations montrent que l’usage du seuil d’intervention de 25 captures/semaine/piège devrait s’accompagner idéalement d’un dépistage rapide des nymphes sur le feuillage, car le nombre de captures sur les pièges collants jaunes n’est pas toujours bien corrélé à la population de nymphes retrouvées sur le feuillage. La période de la saison, le stade et l’état de la culture (vigueur des plants) ou encore le climat (stress hydrique, chaleur) sont aussi des facteurs à prendre en compte.
Un second volet du projet a été mis en place dans quatre champs de producteurs (Bas-Saint-Laurent, Bellechasse, Île d’Orléans et Lanaudière) et avait pour but de définir une méthodologie de dépistage adaptée à l’échelle de production. Afin de déterminer la quantité de pièges à cicadelle qu’il faut installer chez les producteurs pour obtenir un bon degré de précision, 20 à 37 pièges par champ ont été installés aux 20, 30 ou 50 mètres selon les régions et la taille des champs (2,08 ha à 44,8 ha). Les calculs ont été basés sur le pourcentage de réussite (traiter si le seuil est atteint ou ne pas traiter s’il ne l’est pas) obtenu par rapport au nombre de pièges installés et au seuil d’intervention de 25 captures/piège/semaine. Les simulations faites en gardant quatre, six, huit et dix pièges comparativement au nombre total de pièges installés ont montré que l’usage de six à huit pièges collants jaunes dans un champ permettait d’obtenir un très haut degré de précision (prise de la bonne décision), comparativement à la mise en place d’un grand nombre de pièges tous les 20, 30 ou 50 mètres. Le taux de succès a été supérieur à 85 % sur tous les sites avec un minimum de six pièges installés et dans la majorité des cas, ce chiffre a dépassé 90 %. |
321 Évaluation de l’efficacité de plusieurs stratégies de pulvérisation à moindre risque pour la santé et l’environnement pour lutter contre la brûlure hâtive (Alternaria solani et alternata) dans la culture de la pomme de terre - 18-010-CIEL
Ennemi visé : Brûlure hâtive (Alternaria spp.)
La brûlure hâtive (Alternaria solani et A. alternata) est une maladie largement répandue et qui peut causer des pertes importantes de rendement dans la pomme de terre. Pour la contrôler, les producteurs utilisent en moyenne huit à dix applications fongicides par saison. Même si la gestion des produits varie d'une ferme à l'autre, les produits à base de chlorothalonile et de mancozèbe sont encore largement utilisés, principalement en raison de leur faible coût. Or, ces produits sont très toxiques et présentent des indices de risque sur la santé (IRS) élevés. Ce projet souhaitait tester trois stratégies de lutte intégrée : (1) une alternance de bio-fongicides avec des produits chimiques pénétrants (systémiques, translaminaires) présentant un profil environnemental et sur la santé favorable (IRS et IRE faibles); (2) l’utilisation unique de produits chimiques pénétrants à moindre risques; et (3) l’usage unique de produits de contact (mauvais profil sur la santé). Ces stratégies ont été testées en débutant les applications à un stade précoce de la culture (20 cm de hauteur) et au moment de la fermeture des rangs. Peu importe le cultivar (Envol, Goldrush, Red Maria et Russet Burbank), l’utilisation de fongicides pénétrants a procuré la meilleure protection du feuillage. L'introduction des fongicides biologiques dans la rotation de produits a assuré également une bonne efficacité (similaire à la stratégie utilisant seulement des produits de contact), mais celle-ci a été inférieure à la stratégie producteur ou encore à celle utilisant uniquement des produits pénétrants dans la Goldrush et la Red Maria. Le fait de débuter les traitements à la fermeture des rangs a permis d’éviter trois applications en général, sans impact sur le niveau de protection du feuillage, les rendements et la qualité des tubercules. Logiquement, c’est la stratégie utilisant des produits biologiques en alternance avec des produits chimiques à moindres risques, tout en débutant les traitements au moment de la fermeture des rangs qui a permis de réduire le plus l’IRS (90 % à 96 %), l’IRE (56 % à 73 %) et les coûts comparativement au témoin producteur.
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304 Développement d’un outil de surveillance du doryphore de la pomme de terre à l’aide d’imagerie de télédétection acquise par un aéronef sans pilote - PV-3.2-DP-CIEL-35
Ennemi visé : Doryphore de la pomme de terre (Leptinotarsa decemlineata)
Projet en cours
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286 Élaboration d’une stratégie de lutte à faible risque contre la dartrose de la pomme de terre à l’aide de cultivars tolérants - CIEL-1-16-1793
Ennemi visé : Dartrose (Colletotrichum coccodes)
La dartrose de la pomme de terre (Colletotrichum coccodes) est une maladie en progression dans les régions productrices de pomme de terre, notamment au Québec. Elle est en mesure de causer des pertes de vigueur dans la croissance des plants, de réduire les rendements et d’occasionner des lésions sur les tubercules qui occasionnent des rejets lors de l’emballage. Pour lutter adéquatement contre cette maladie, il est recommandé d’utiliser une combinaison de moyens de lutte préventifs car la lutte avec les fongicides chimiques n’est pas totalement efficace. L’utilisation de cultivars de pomme de terre tolérants à la dartrose est un des premiers facteurs à considérer dans l’établissement d’une stratégie de lutte face à la dartrose. Il n’existe pas sur le marché de cultivar entièrement résistant à cette maladie, mais des études réalisées ailleurs qu’au Québec démontrent que les cultivars n’ont pas tous la même susceptibilité face à la dartrose. Nous avons donc élaboré un projet dont le but premier est de documenter la sensibilité de différents cultivars de pomme de terre utilisés par les producteurs québécois. L’objectif général du projet est de fournir des informations pertinentes aux producteurs de pommes de terre afin de les guider dans leurs choix de cultivars.
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285 Évaluation de différents engrais verts pour diminuer l’inoculum du sol de certaines maladies telluriques dans la pomme de terre - CIEL-1-16-1792
Ennemi visé : -
La maîtrise des maladies telluriques, tel que la dartrose (Colletotrichum coccodes), la rhizoctonie (Rhizoctonia solani) et la gale commune (Streptomyces scabiei) est cruciale pour les producteurs de pomme de terre. En effet, les pathogènes concernés persistent longtemps dans le sol grâce à leur forme de résistance et/ou leur capacité à se maintenir sur les résidus de cultures. Une des méthodes alternatives aux pesticides est d’utiliser des cultures de rotation afin de diminuer l’inoculum du sol. Ce projet avait pour but de tester cette hypothèse avec six/sept engrais verts différents, seuls ou en mélange (moutarde brune, radis fourrager (2017), radis huileux (2018), orge, seigle de printemps, millet perlé, mélange raygrass italien et trèfle incarnat, sarrasin (2018), deux cultures témoins (pommes de terre et maïs grain) ainsi qu’un témoin sans culture (sol à nu – 2017). Les travaux ont été réalisés dans deux champs différents chez un producteur de pommes de terre de la région de Lanaudière lors des saisons 2017-2018 et 2018-2019. Les résultats de cette étude montrent que l’ajout de cultures de rotation entre deux années de production de pommes de terre semble efficace pour lutter indirectement contre la gale, ce qui est en accord avec les informations retrouvées dans la littérature scientifique. Cependant, le projet n’a pas permis de mettre en évidence l’influence des cultures de rotation sur la présence dans le sol des agents phytopathogènes responsables de la dartrose et de la rhizoctonie. Néanmoins, cette étude sur trois ans est beaucoup trop courte pour tirer des conclusions, mais démontre l’intérêt pour une étude sur plusieurs années. Ce projet a malgré tout donné des indices que des potentiels intéressants semblent présents et qu’une étude sur plusieurs années pourrait permettre d’évaluer le potentiel des cultures de rotation dans la culture de la pomme de terre.
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284 Stratégie à moindre risque pour lutter contre le doryphore de la pomme de terre (Leptinotarsa decemlineata) en production conventionnelle - CIEL-1-16-1790
Ennemi visé : Doryphore de la pomme de terre (Leptinotarsa decemlineata)
Le doryphore de la pomme de terre (Leptinotarsa decemlineata) est le ravageur le plus important de la culture de la pomme de terre au Québec. La lutte contre cet insecte est basée principalement sur l’utilisation d’insecticides chimiques. La majorité des producteurs utilisent un insecticide systémique (plantons ou sillon) à la plantation pour éventuellement faire une ou deux applications foliaires supplémentaires plus tard au courant de la saison. Cette stratégie de lutte, même si elle est très efficace, représente un risque pour l’environnement, car les produits utilisés, en particulier à la plantation, sont lessivables. Ils sont d’ailleurs pointés du doigt comme étant une cause importante de contamination des eaux souterraines et de surface. Cette problématique est devenue un enjeu majeur dans les principales zones de production de la province.
Dans ce contexte, nous souhaitions développer et démontrer l’efficacité de plusieurs stratégies de lutte à risque réduit contre le doryphore en production conventionnelle de pomme de terre. Ces stratégies étaient basées sur des traitements foliaires et visaient à remplacer les traitements systémiques dans le sillon/planton à la plantation. L’impact sur le plan environnement et de la santé de chacune des stratégies a été calculé en fonction des IRS et IRE de chacun des produits et des stratégies utilisées. Le remplacement des produits systémiques dans le sillon/sur le planton à la plantation par des applications foliaires avec des produits à moindres risques est possible, mais n'est avantageux (sur le plan économique, environnemental et sur la santé) que lorsque la pression exercée par le doryphore est faible ou modérée. Les gains en termes d’IRS et IRE peuvent alors être importants. Par contre, quand la pression est plus forte, la réduction du risque est moins significative en raison de l’augmentation du nombre de traitements nécessaires. |
277 Réduction des insecticides systémiques (sillon ou planton) utilisés pour le contrôle du doryphore de la pomme de terre (Leptinotarsa decemlineata) par l'application en ceinture de champ uniquement - PV-3.2-2015-017
Ennemi visé : Doryphore de la pomme de terre (Leptinotarsa decemlineata)
Dans la culture de la pomme de terre, l'utilisation d'insecticides chimiques demeure le principal moyen de lutte pour contrôler le doryphore et la majorité des producteurs utilisent un insecticide systémique en traitement des plantons ou appliqué dans le sillon à la plantation. Cette stratégie est très efficace, mais est pointée du doigt comme étant une cause importante de contamination des eaux souterraines et de surface. Une approche différente a été utilisée dans ce projet. Elle consiste à traiter un certain nombre de rangs de pomme de terre en périmètre du champ avec un insecticide à la plantation (sillon ou planton) et de traiter les rangs du centre avec des pulvérisations foliaires seulement si les populations le justifient. Cette technique permettrait de réduire considérablement les populations d'adultes migrant dans les champs de pomme de terre au printemps, tout en diminuant globalement la quantité d'insecticides appliqués au champ. Cette nouvelle stratégie d’intervention visait donc la diminution de la quantité de matière active d’insecticides employés et l'amélioration de la capacité concurrentielle du secteur des pommes de terre (diminution des charges liées à la réduction de l’usage d’insecticides coûteux). L’application d’insecticides uniquement en périphérie de champ était donc testée comme un moyen de lutte durable, raisonné, intégré et donc respectueux de l'environnement.
Le projet n’a pas été concluant à plusieurs égards. Les discussions avec les producteurs montrent que la mise en place des traitements en ceinture de champ au moment des semis représente une logistique et un stress supplémentaire durant une période cruciale déjà très occupée. Contrairement à ce qui était escompté, le traitement dans le sillon ou sur le planton avec un insecticide systémique en ceinture de champ au moment du semis n’a pas permis de limiter la progression du doryphore dans le reste du champ et ceci, même dans un contexte de faible pression. |
273 Évaluation du potentiel d'utilisation de capteurs de spores dans la culture de la pomme de terre afin de déterminer les périodes de risques d'infection par la dartrose (Colletotrichum coccodes) - IA216656
Ennemi visé : Dartrose (Colletotrichum coccodes)
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270 Mise en place d’un service de prédiction du risque d’infection du mildiou de la pomme de terre basé sur le modèle prévisionnel Miléos® afin de réduire l’usage des pesticides au Québec - PV-3.2-2015-009
Ennemi visé: Mildiou de la pomme de terre (Phytophtora infestans)
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258 Démonstration de la possibilité de réduction du nombre de traitements fongicides pour lutter contre la brûlure hâtive (Alternaria solani) dans la culture de la pomme de terre dans la région de Lanaudière - PV-3.1-2016-14-2
Ennemi visé : Brûlure hâtive (Alternaria solani)
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254 Évaluation de la tolérance et de l'efficacité de plusieurs herbicides à faible risque pour la santé et l'environnement dans la culture de la pomme de terre - CIEL-1-15-AD30
Ennemi visé : Dicotylédones annuelles
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229 Détermination du moment et du mode d’application optimal des fongicides permettant de lutter efficacement contre la dartrose de la pomme de terre (Colletotrichum coccodes) - IA214163
Ennemi visé : Dartrose (Colletotrichum coccodes)
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219 Détermination d'un seuil d'intervention pour lutter contre la cicadelle de la pomme de terre (Empoasca fabae Harris) et quantification des pertes de rendement causées par cet insecte dans la culture de la pomme de terre - CIEL-1-13-1655
Ennemi visé: Cicadelle de la pomme de terre (Empoasca fabae)
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195 Évaluation du modèle prévisionnel Miléos® à grande échelle chez les producteurs de pommes de terre du Québec afin de lutter de façon raisonnée contre le mildiou (Phytophtora infestans) - CIEL-1-12-1614
Ennemi visé : Mildiou de la pomme de terre (Phytophtora infestans)
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185 Recherche de nouvelles solutions pour remplacer l’emploi du linuron dans la culture de la pomme de terre - 6777
Ennemi visé : Dicotylédones annuelles
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174 Évaluation de l’efficacité de plusieurs fongicides dans la pomme de terre pour lutter efficacement contre la dartrose (Colletotrichum coccodes) - PSIH12-2-750
Ennemi visé : Dartrose (Colletotrichum coccodes)
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93 Raisonner la lutte chimique pour lutter contre le mildiou de la pomme de terre (Phytophthora infestans) grâce aux outils d’aide à la décision : test de trois modèles prévisionnels dans les conditions du Québec - PSIH07-2-813
Ennemi visé : Mildiou de la pomme de terre (Phytophtora infestans)
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84 Outils d’aide à la décision : trois modèles prévisionnels pour raisonner la lutte chimique contre le mildiou de la pomme de terre (Phytophthora infestans) au Québec. CPVL-1-SPP-06-037
Ennemi visé : Mildiou de la pomme de terre (Phytophtora infestans)
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76 Utilisation d’extraits de chitine et de chitosane pour lutter contre la gale commune de la pomme de terre (Streptomyces scabiei) - PSIH05-2-312 2005
Ennemi visé : Gale commune (Streptomyces scabiei)
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71 Lutte contre le doryphore de la pomme de terre en production biologique : détermination de l’efficacité de 5 bio-insecticides - PSDAB 07-BIO-034 2008-2009
Ennemi visé : Doryphore de la pomme de terre (Leptinotarsa decemlineata)
En 2007, les producteurs de pommes de terre biologiques disposaient d'un nombre très restreint d’insecticides biologiques pour lutter contre le doryphore de la pomme de terre et ne disposaient pas d’un nombre suffisant d’applications annuelles pour lutter contre l’insecte. Dans ce projet, l’efficacité de plusieurs insecticides biologiques a été testée contre le doryphore durant les saisons 2008 et 2009 sur un site en transition biologique à Lavaltrie (Lanaudière). Parmi les 6 produits testés, NeemAzal, Botanigard et Azera semblaient prometteurs pour la lutte contre le doryphore.
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