De concert avec le milieu agricole, nous travaillons à développer des techniques et des stratégies visant la réduction des risques associés à l’utilisation des pesticides, soit par la réduction de l’utilisation des pesticides ou une utilisation mieux raisonnée des pesticides et du choix des pesticides à utiliser. À titre d’exemple, depuis 2006 nous travaillons à l’évaluation et à l’utilisation d’un modèle prévisionnel des risques de développement de maladie dans la pomme de terre de façon à réduire l’utilisation des pesticides. Depuis la saison 2018, nous supervisons la réalisation de vitrines de démonstration à la ferme de régies à moindres risques dans la culture de la fraise à jour neutre et ce dans 3 régions de la province. Dans ces vitrines nous utilisons la gestion intégrée des ennemis des cultures et nous avons obtenu d’excellents résultats et une diminution des risques associés à l’utilisation des pesticides. Des visites et activités de diffusion visent à inciter davantage de producteurs à adopter ces méthodes de régies. En 2019 nous entreprenons la même démarche dans le secteur de la pomme de terre de façon à accompagner des producteurs dans 6 régions du Québec dans l’implantation d’une régie de gestion intégrée des ennemis des cultures.
Les projets de recherche menés par le CIEL, en s’adressant à la recherche de solutions pour les différentes problématiques auxquelles font face les producteurs du Québec, permettent des retombées importantes.
Lutter contre la progression des ravageurs, maladies, insectes et mauvaises herbes.
Développer des outils et stratégies de lutte intégrée.
Développer des stratégies et pratiques visant la réduction des risques associés à l’utilisation des pesticides.
Transférer les connaissances et les résultats vers l’industrie.
Réduire les pertes de rendement, conserver et améliorer la rentabilité des entreprises agricoles.
Conserver à notre industrie la capacité de produire des aliments de qualité.
Produire des données d’efficacité des produits phytosanitaires pour l’homologation dans des cultures occupant un volume plus restreint que les grandes cultures.
Participer par ces retombées à l’atteinte de la souveraineté alimentaire.
Contribuer à l’atteinte des objectifs visés par la stratégie phytosanitaire du Québec.
Les projets de recherche du CIEL sont réalisés dans un esprit de développement durable et visent une utilisation plus ciblée et mieux raisonnée des pesticides. D’autres projets visent aussi le développement d’alternatives à l’utilisation des pesticides ainsi que le développement de techniques de production biologique. L’ensemble de ces actions entraîne des retombées sous plusieurs formes :
Économiques
La réduction de l’utilisation des pesticides entraîne une réduction du coût de production pour l’entreprise.
Diminution des coûts dus à l’achat des produits phytosanitaires.
Diminution du nombre d’interventions au champ, donc réduction du coût de main-d’œuvre.
Diminution de la consommation de carburant entraînant une réduction de la production de gaz à effet de serre.
Agronomiques
Diminution des risques de développement de résistances aux produits phytosanitaires.
Développement de solutions de remplacement à l’usage des pesticides.
Environnementales
Réduction de la quantité de pesticides se retrouvant dans l’environnement.
Diminution de l’exposition des travailleurs aux pesticides.
Réduction de la production des gaz à effet de serre, donc impacte sur les changements climatiques.
Santé publique
La diminution de la quantité de pesticides et de gaz à effet de serre dans l’environnement entraîne des retombées importantes sur le plan de la santé publique.
Les projets de recherche menés par le CIEL, en s’adressant à la recherche de solutions pour les différentes problématiques auxquelles font face les producteurs du Québec, permettent des retombées importantes.
Lutter contre la progression des ravageurs, maladies, insectes et mauvaises herbes.
Développer des outils et stratégies de lutte intégrée.
Développer des stratégies et pratiques visant la réduction des risques associés à l’utilisation des pesticides.
Transférer les connaissances et les résultats vers l’industrie.
Réduire les pertes de rendement, conserver et améliorer la rentabilité des entreprises agricoles.
Conserver à notre industrie la capacité de produire des aliments de qualité.
Produire des données d’efficacité des produits phytosanitaires pour l’homologation dans des cultures occupant un volume plus restreint que les grandes cultures.
Participer par ces retombées à l’atteinte de la souveraineté alimentaire.
Contribuer à l’atteinte des objectifs visés par la stratégie phytosanitaire du Québec.
Les projets de recherche du CIEL sont réalisés dans un esprit de développement durable et visent une utilisation plus ciblée et mieux raisonnée des pesticides. D’autres projets visent aussi le développement d’alternatives à l’utilisation des pesticides ainsi que le développement de techniques de production biologique. L’ensemble de ces actions entraîne des retombées sous plusieurs formes :
Économiques
La réduction de l’utilisation des pesticides entraîne une réduction du coût de production pour l’entreprise.
Diminution des coûts dus à l’achat des produits phytosanitaires.
Diminution du nombre d’interventions au champ, donc réduction du coût de main-d’œuvre.
Diminution de la consommation de carburant entraînant une réduction de la production de gaz à effet de serre.
Agronomiques
Diminution des risques de développement de résistances aux produits phytosanitaires.
Développement de solutions de remplacement à l’usage des pesticides.
Environnementales
Réduction de la quantité de pesticides se retrouvant dans l’environnement.
Diminution de l’exposition des travailleurs aux pesticides.
Réduction de la production des gaz à effet de serre, donc impacte sur les changements climatiques.
Santé publique
La diminution de la quantité de pesticides et de gaz à effet de serre dans l’environnement entraîne des retombées importantes sur le plan de la santé publique.